Je suis Gaya, née à Paris en 1961, de parents d’origine hollandaise et italienne. Mon don de voyance est héréditaire : je le tiens de ma mère et de mon grand-père maternel. J’ai pris conscience de cette faculté dans l’enfance.
Voyance par «flashs»
Pour exercer mon don de voyance, je me concentre sur la personne qui vient me voir, ou qui me téléphone. Je me concentre en la regardant fixement, ou en regardant sa photo (d’ailleurs j’apprécie, même quand le consultant est physiquement en face de moi, d’avoir sa photo sous les yeux pour encore mieux me connecter). Il s’agit essentiellement de voyance par «flashs» médiumniques.
Messages de personnes décédées
Ma particularité est surtout de recevoir des messages de la part de personnes décédées. Ces messages peuvent être des «clins d’œil» que seul le consultant peut comprendre, des souvenirs partagés, ou encore des noms, des dates, des lieux évocateurs pour le consultant. Je ne transmets les messages de personnes décédées qu’avec l’accord du consultant, qui peut ne pas souhaiter recevoir de tels messages. Cette pratique peut aider à faire le deuil d’un être cher, sans pour autant l’oublier. Attention : la voyance ne remplace pas une thérapie lorsque celle-ci s’avère nécessaire après un décès.
Passé, présent, avenir
Le plus souvent, je donne d’abord au consultant des informations sur son passé et son présent. Cela me permet de vérifier que je suis bien connectée avec lui. Si je ne me trompe pas sur son passé et son présent, je peux ensuite lui partager les informations qui me viennent, toujours par «flashs», sur son avenir. Ainsi, je ne suis pas influencée par les questions du consultant, qu’il peut ensuite me poser en deuxième partie de consultation.
La voyance au service des autres
La voyance est aujourd’hui mon métier à temps plein. Il n’en a pas toujours été ainsi. Alors que j’exerçais différentes professions, qui m’ont toutes passionnées (professeure de sport, puis dirigeante-fondatrice d’une société d’intérim, entrepreneure dans le domaine des soins de beauté…), je pratiquais la voyance gratuitement. Les personnes qui venaient me voir étaient essentiellement des ami(e)s, et des ami(e) d’ami(e)s. Mais progressivement, grâce aux témoignages et remerciements des personnes qui me consultaient, j’ai compris que mon don était réellement utile aux autres. J’ai alors décidé d’en faire un métier, que je suis fière et heureuse d’exercer. La voyance est parfois critiquée et galvaudée, mais j’espère qu’elle sera un jour reconnue à sa juste valeur, comme un accompagnement de vie complémentaire à d’autres pratiques plus conventionnelles (telles que les psychothérapies, que la voyance n’a pas vocation à remplacer).
Le jour où… j’ai découvert mon don
Une nuit, alors que j’étais âgée de 4 ans, ma grand-mère maternelle m’est apparue au pied de mon lit. A ma connaissance, elle n’était pas malade, encore moins mourante, pourtant elle m’a dit : «Tu n’iras pas à l’école demain, je suis partie.» Au réveil, ma mère est venue me voir pour m’annoncer le décès de ma grand-mère. Après cette première expérience médiumnique, j’ai continué à percevoir des messages de l’au-delà, mais je n’ai plus jamais vu d’enveloppes corporelles.
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